Encore une fois, comme le relate Le Devoir du 9 août, dans cette guerre sans fin trop souvent passée sous silence, l’armée israélienne a utilisé une force démesurée dans le cadre d’une opération pour éliminer des leaders du Hamas.
Le discours reste inchangé, manichéen : c’est toujours la faute de l’autre. Le Hamas lance des rockets et l’armée israélienne riposte avec une capacité de frappe largement supérieure à celle du Hamas.
Un jour viendra, espérons-le bientôt, où tant Israéliens que Palestiniens devront négocier à la même table sous le chapeau de l’ONU. Il est plus que temps de mettre fin au cercle vicieux de la violence.
Il n’y a qu’une porte de sortie : des négociations pour la paix et la justice.
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